Iphigénie Marcoux-Fortier

Le super party d’huîtres

Synopsis: Il y a plus de 40 ans que la petite communauté de St-Norbert dans Lanaudière organise un party d’huîtres, où l’on y trouve tout un monde.
Durée: 24:19
Réalisation: Iphigénie Marcoux-Fortier
Production: Les glaneuses
Bande-annonce: https://youtu.be/--Bcq6_NScw
En ligne: https://youtu.be/isnWwCu_y-w


Oeuvre collective

Eeyu Cheschaaydamowin/À la cueillette du savoir
Un camp intergénérationnel et interculturel a eu lieu en Août 2013 avec les Cris de Whapmagoostui, Québec, à l'est de la baie d'Hudson. Un groupe de 18 personnes de tous âges a passé cinq jours sur le territoire dans le but de partager leurs savoirs respectifs et de se rassembler autour des thématiques des plantes nordiques, des changements climatiques et des sciences de l’environnement. Ce groupe incluait quatre aînés, quatre jeunes, sept assistants de camp de Whapmagoostui, deux chercheures du Centre d'études nordiques et une cinéaste de Wapikoni mobile.
Pour citation : Marcoux-Fortier, I., Gérin-Lajoie, J., Masty, M., Mukash, M., George, S., Hébert-Houle, E., Bhiry, N., Vincent, W., Barnard, C. and Lévesque, E. 2013. Eeyu Cheschaaydamowin/The Plant Gathering Project/À la cueillette du savoir. Short documentary co-produced by Whapmagoostui First Nation and Centre d’études nordiques. Creation of Wapikoni Mobile. December 2013. 21 minutes. English version: http://youtu.be/zwjYijCwdFM Version française: http://youtu.be/pxYue3BNv30

Un film de Iphigénie Marcoux-Fortier et Karine van Ameringen

2013, 75 min, documentaire, s.-t. fr., s.-t. ang., couleur, 16 :9, HDSR 23.976, dolby 5.1

Témoin d'une époque charnière qui voit s'éteindre les derniers salons funéraires en milieu familial au Québec, Le pas de la porte raconte la quête de sens de Gilles et Gaétane, Lucienne, Diane Huguette et Nadia qui, de gré ou de force, apprivoisent la mort. À différents stades de leur vie, ils inventent des rituels en marge de l’industrie funéraire qui leur permettent de mieux vivre la mort, celle de leurs proches et, ultimement, la leur.

Un film de Iphigénie Marcoux-Fortier et Karine Van Ameringen
Documentaire - v.o. espagnole avec s.t. français / 52 min - ©2010
Au rythme du moulin à maïs, du travail aux champs, de la préparation des repas et surtout du temps qui passe, JE SERAI LÀ nous transporte au coeur du quotidien de cinq habitants de San Isidro Aloapam, une petite communauté de l'État de Oaxaca au Méxique. Ceux-ci composent depuis de nombreuses années avec l’absence de leurs proches parti travailler au nord du pays pour des producteurs agricoles américains. JE SERAI LÀ est le témoignage de ceux qui restent à ceux qui partent, un film sur l’attente des êtres chers et sur l’espérance d’une vie meilleure.

Performance théâtrale mimée dans un environnement électroacoustique et de synthèse.

Caractéristiques originales du projet

• Structure narrative progressant par temps marqués vers un climax tout en laissant place à l’indéterminé et l’improvisation.
• Présentation publique au musée « Juste pour rire » dont les ressources techniques ont largement été mises à contribution.
• Une des présentations les plus complexes et les plus achevées du profil multimédia et peut être celle qui suscita l’empathie la plus manifeste.

Description détaillée

Les finissants de l’époque s’étaient donné deux objectifs :
- construire un spectacle cybernétique comportant un dispositif audiovisuel interactif recouvrant l’ensemble des techniques disponibles, mais où la présence corporelle reste prépondérante.
- que quinze étudiants mènent à bien une création collective tirant parti des aptitudes de chacun dans le respect d’une cohésion générale de l’oeuvre.

L’installation mettait en scène trois personnages fantastiques affublés de troubles de personnalité sévères : le premier obèse, fixe, souffrant et pathétique, le second, petit, agile, fuyant et parano, le troisième, géant colossal, planté, inquiétant et irascible. Les personnages sont incarnés par des étudiants qui se sont donné un entraînement spécial en techniques d’expression. Ils sont munis de différentes prothèses : caméras, senseurs qui catalysent leur interaction avec l’auditoire au milieu duquel ils sont placés. Des images captées par les personnages sont périodiquement projetées sur les écrans, interpellant le visiteur devenu interacteur.